portĂ©euniverselle de juste la fin du monde; Emergency? Call: 01407067550. Get a Quote. bbq dreamz restaurant. problĂšme boite de transfert hyundai santa fe. Main Menu. corrigĂ© bts esthĂ©tique cosmĂ©tique 2013; apres combien de temps un homme peut refaire l'amour; hadith sur la priĂšre Ă  la mosquĂ©e ; fils de daniel auteuil; exercice analyse grammaticale cm2. la crypte lalibertĂ© guidant le peuple cm2 la libertĂ© guidant le peuple cm2 la libertĂ© guidant le peuple cm2pochoir parking privĂ©. June 4, 2022 . la kaaba dans la bible Ɠdipe explique l Ă©nigme du sphinx avis Comments Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xáș„u. Une jeune guenon cueillit Une noix dans sa coque verte ; Elle y porte la dent, fait la grimace
 ah ! Certe, Dit-elle, ma mĂšre mentit Quand elle m’assura que les noix Ă©taient bonnes. Puis, croyez aux discours de ces vieilles personnes Qui trompent la jeunesse ! Au diable soit le fruit ! Elle jette la noix. Un singe la ramasse, Vite entre deux cailloux la casse, L’épluche, la mange, et lui dit Votre mĂšre eut raison, ma mie Les noix ont fort bon goĂ»t, mais il faut les ouvrir. Souvenez-vous que, dans la vie, Sans un peu de travail on n’a point de plaisir SowandiNiveau 10La tabatiĂšre de Voltaire - Tout enfant, Voltaire faisait si facilement les vers que ses professeurs eux-mĂȘmes, prenaient plaisir a exercer son jeune talent. Un jour, il s'amusait pendant la classe avec une tabatiĂšre; son professeur le pĂšre PorĂ©e la lui confisqua, et promit de la lui rendre, s'il faisait la demande en vers. Un quart d'heure aprĂšs, l’écolier remettait les vers suivants Adieu, ma pauvre tabatiĂšre ;Adieu, je ne te verrai plus ;Ni soins, ni larmes, ni priĂšre,Ne te rendront Ă  moi ; mes efforts sont ma pauvre tabatiĂšre ;Adieu, doux fruit de mes Ă©cus !S’il faut Ă  prix d’argent te racheter encore,J’irai plutĂŽt vider les trĂ©sors de ce n’est pas ce dieu que l’on veut que j’ te ravoir, hĂ©las ! il faut prier PhĂ©bus
Qu’on oppose entre nous une forte barriĂšre !Me demander des vers ! HĂ©las ! Je n’en puis ma pauvre tabatiĂšre ;Adieu, je ne te verrai 1694-1778phiExpertTestĂ©s l'an dernierBestiaire d'Apollinaire par exemple le paonSpoilerLe pĂ©lican de Jonathan DesnosSpoilerAllais, complainte amoureuseSpoilerBallade Ă  la lune Musset mais adaptĂ© par BrassensSpoilerDerniĂšre Ă©dition par phi le Mer 22 FĂ©v 2012 - 1125, Ă©ditĂ© 1 foisfugueNiveau 8TestĂ©s CM2, deux poĂšmes de HugoMelancholiaOĂč vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?Ces doux ĂȘtres pensifs que la fiĂšvre maigrit ?Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ?Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ;Ils vont, de l'aube au soir, faire Ă©ternellementDans la mĂȘme prison le mĂȘme sous les dents d'une machine sombre,Monstre hideux qui mĂąche on ne sait quoi dans l'ombre,Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de on ne s'arrĂȘte et jamais on ne quelle pĂąleur ! la cendre est sur leur fait Ă  peine jour, ils sont dĂ©jĂ  bien ne comprennent rien Ă  leur destin, hĂ©las !Ils semblent dire Ă  Dieu Petits comme nous sommes,Notre pĂšre, voyez ce que nous font les hommes ! »O servitude infĂąme imposĂ©e Ă  l'enfant !
Demain, dĂšs l'aube... Demain, dĂšs l'aube, Ă  l'heure oĂč blanchit la campagne,Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m' par la forĂȘt, j'irai par la ne puis demeurer loin de toi plus marcherai les yeux fixĂ©s sur mes pensĂ©es,Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,Seul, inconnu, le dos courbĂ©, les mains croisĂ©es,Triste, et le jour pour moi sera comme la ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeUn bouquet de houx vert et de bruyĂšre en Hugo de plusJeunes gens, prenez garde aux choses que vous ditesJeunes gens, prenez garde aux choses que vous peut sortir d'un mot qu'en passant vous la haine et le deuil ! - Et ne m'objectez pas Que vos amis sont sĂ»rs et que vous parlez bas... -Ecoutez bien ceci TĂȘte-Ă -tĂȘte, en pantoufle,Portes closes, chez vous, sans un tĂ©moin qui souffle,Vous dites Ă  l'oreille au plus mystĂ©rieuxDe vos amis de coeur, ou, si vous l'aimez mieux,Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire, Dans le fond d'une cave Ă  trente pieds sous terre,Un mot dĂ©sagrĂ©able Ă  quelque individu ;Ce mot que vous croyez que l'on n'a pas entendu,Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre,Court Ă  peine lĂąchĂ©, part, bondit, sort de l'ombre !Tenez, il est dehors ! Il connaĂźt son marche, il a deux pieds, un bĂąton Ă  la main,De bons souliers ferrĂ©s, un passeport en rĂšgle ;- Au besoin, il prendrait des ailes, comme l'aigle ! -Il vous Ă©chappe, il fuit, rien ne l' suit le quai, franchit la place, et caetera,Passe l'eau sans bateau dans la saison des crues,Et va, tout Ă  travers un dĂ©dale de rues,Droit chez l'individu dont vous avez sait le numĂ©ro, l'Ă©tage ; il a la clĂ©,Il monte l'escalier, ouvre la porte, passe, Entre, arrive, et, railleur, regardant l'homme en face, Dit - Me voilĂ  ! je sors de la bouche d'un tel. -Et c'est fait. Vous avez un ennemi 8Un peu difficile mais extra! Et en plus, ça te fait ta sĂ©ance d'Ă©ducation civique/morale, et hop!MĂ©lisandeNeoprof expĂ©rimentĂ©Je rejoins ce que tu dis, Fugue. Ma fille ainĂ©e, actuellement en CM2 a appris ces deux poĂšmes de Hugo en dĂ©but d' assez dubitative car je les donne en 4e et certains Ă©lĂšves se plaignent de leur difficultĂ© et finalement, ma fille les a appris et cela a permis de belles discussions sur le travail des enfants et la mort de mĂȘme, j'Ă©tais Ă©tonnĂ©e que ma fille cadette, actuellement en CP, apprenne en janvier "le corbeau et le renard" puis "la cigale et la fourmi" et il faut avouer qu'elle savoure tous ces mots Ă©tranges et rĂ©cite ces poĂ©sies avec beaucoup de plaisir et d'inventivitĂ©. Comme me l'a si bien dit sa maĂźtresse "il faut ĂȘtre ambitieux pour nos Ă©lĂšves, ils en sont capables !" fugueNiveau 8Oui, mĂȘme chose avec Le loup et l'agneau que j'avais Ă©tudiĂ© avec mes CM1. J'y Ă©tais allĂ©e sur la pointe des pieds parce que je jugeais la fable difficile, mais ça avait marchĂ© du tonnerre. On y avait passĂ© beaucoup de temps, donc Ă©videmment impossible de faire de mĂȘme avec toutes les poĂ©sies. Mais quel plaisir!SergeMĂ©diateur Comme me l'a si bien dit sa maĂźtresse "il faut ĂȘtre ambitieux pour nos Ă©lĂšves, ils en sont capables !" C'est bien vrai, MĂ©lisandre ! _________________Pour faire dĂ©couvrir la Cafet Ă  nos Ă©lĂšves > ICIphiExpert fugue a Ă©critUn peu difficile mais extra! Et en plus, ça te fait ta sĂ©ance d'Ă©ducation civique/morale, et hop! Oui! Et puis je pense que dans certains cas on peut la lire en entier mais Ă©ventuellement ne faire apprendre qu'une partie?Pour Alphonse Allais je n'avais fait copier et apprendre que la partie au passĂ© simple, c'etait dĂ©jĂ  pas mal, et rien n'empechait la courageuse n0 1 Ă  copier et apprendre la totalitĂ© pour Ă©pater la galerie pUne autre hyper connueJeanne Ă©tait au pain sec dans le cabinet noir,Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir,J'allai voir la proscrite en pleine forfaiture,Et lui glissai dans l'ombre un pot de confitureContraire aux lois. Tous ceux sur qui, dans ma citĂ©,Repose le salut de la sociĂ©tĂ©,S'indignĂšrent, et Jeanne a dit d'une voix douce - Je ne toucherai plus mon nez avec mon pouce ;Je ne me ferai plus griffer par le on s'est rĂ©criĂ© - Cette enfant vous connaĂźt ;Elle sait Ă  quel point vous ĂȘtes faible et vous voit toujours rire quand on se de gouvernement possible. À chaque instantL'ordre est troublĂ© par vous ; le pouvoir se dĂ©tend ;Plus de rĂšgle. L'enfant n'a plus rien qui l' dĂ©molissez tout. - Et j'ai baissĂ© la tĂȘte,Et j'ai dit - Je n'ai rien Ă  rĂ©pondre Ă  cela,J'ai tort. Oui, c'est avec ces indulgences-lĂ Qu'on a toujours conduit les peuples Ă  leur me mette au pain sec. - Vous le mĂ©ritez, certe,On vous y mettra. - Jeanne alors, dans son coin noir,M'a dit tout bas, levant ses yeux si beaux Ă  voir,Pleins de l'autoritĂ© des douces crĂ©atures - Eh bien, moi, je t'irai porter des autant en lecture suivie, on doit faire un peu attention Ă  une difficultĂ© excessive, autant en poĂ©sie, c'est un boulevard qui s'ouvre Ă  nous, surtout au du CE2 au CM2, j'ai toujours commencĂ© l'annĂ©e avec "Le Laboureur et ses enfants" de la Fontaine, essentiellement pour la morale de l'histoire, bien sĂ»r ! Travaillez, prenez de la peine C'est le fonds qui manque le riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,Fit venir ses enfants, leur parla sans tĂ©moins."Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'hĂ©ritageQue nous ont laissĂ© nos parents Un trĂ©sor est cachĂ© ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courageVous le fera trouver vous en viendrez Ă  votre champ dĂšs qu'on aura fait l'oĂ»t Creusez, fouillez, bĂȘchez ; ne laissez nulle placeOĂč la main ne passe et repasse."Le pĂšre mort, les fils vous retournent le champ,Deçà, delĂ , partout....si bien qu'au bout de l'anIl en rapporta point de cachĂ©. Mais le pĂšre fut sageDe leur montrer avant sa mortQue le travail est un y a aussi possibilitĂ© d'enfoncer le clou avec ça La guenon, le singe et la noixUne jeune guenon cueillitUne noix dans sa coque verte ;Elle y porte la dent, fait la grimace... ah ! Certe,Dit-elle, ma mĂšre mentitQuand elle m'assura que les noix Ă©taient croyez aux discours de ces vieilles personnesQui trompent la jeunesse ! Au diable soit le fruit !Elle jette la noix. Un singe la ramasse,Vite entre deux cailloux la casse,L'Ă©pluche, la mange, et lui dit Votre mĂšre eut raison, ma mie Les noix ont fort bon goĂ»t, mais il faut les que, dans la vie,Sans un peu de travail on n'a point de Claris de FLORIAN 1755-1794Sinon, comme je l'ai dit ailleurs, pour moi, la poĂ©sie, c'est en rimes, et si possible en alexandrins. Je me permets de temps en temps un Apollinaire ou un PrĂ©vert, mais c'est Ă  peu prĂšs tout en termes de "modernitĂ©".Donc, par ici les Baudelaire, Hugo, Musset, Vigny, Rostand Aaaah, la tirade du nez !, Gautier, etc...Allez, un petit dernier, que j'aime bien Le rat et la LunetteJadis le seigneur Ratapon,Trouvant une lunette, en voulut faire mieux dĂ©couvrir l'horizon,Le nouvel astronome au haut d'une maisonAjusta l'instrument ; et la premiĂšre imageQui s'offrit Ă  ses yeux, ce fut celle d'un chat. Il le crut Ă  deux notre ratFuit dans un trou du rester Ă©tait le plus sĂ»r Mais s'ennuyant dans son rĂ©duit obscur,Il mit la tĂȘte Ă  la voyant aucun chat paraĂźtre,Il s'enhardit, fait quelques pas.Voyons encor, dit-il, si le flĂ©au des ratsEst en embuscade et nous guette. »Alors ayant pris la lunettePar l'autre bout imprudemment,Il voit, mais en Ă©loignement, Son rat se crut en assurance. Voyez-vous, disait-il, cette humble contenance ?Ah que je plains les rats sans connaissance,Qui n'ont pas observĂ© comme moi l'imposteur ! »Le matou, cependant, plus proche qu'il ne pense,Happe notre qui sait s'en servir telle chose est utile,Qui souvent nuit au RicherClarinetteMonarqueTiens, j'ai oubliĂ© Rimbaud et son dormeur, Ă©tudiĂ© au moment oĂč l'on traite en histoire de la guerre franco-prussienne de autre poĂšme que j'aime beaucoup, dĂ©couvert assez rĂ©cemment, d'un auteur que j'idolĂątre pour ses nouvelles, Maupassant Nuit de neigeLa grande plaine est blanche, immobile et sans un bruit, pas un son ; toute vie est on entend parfois, comme une morne plainte,Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de s'est abattu sur toute floraison ;Des arbres dĂ©pouillĂ©s dressent Ă  l'horizonLeurs squelettes blanchis ainsi que des lune est large et pĂąle et semble se dirait qu'elle a froid dans le grand ciel son morne regard elle parcourt la terre,Et, voyant tout dĂ©sert, s'empresse Ă  nous froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde,Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ;Et la neige s'Ă©claire au loin, sinistrement,Aux Ă©tranges reflets de la clartĂ© ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !Un vent glacĂ© frissonne et court par les allĂ©es ;Eux, n'ayant plus l'asile ombragĂ© des berceaux,Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes les grands arbres nus que couvre le verglasIls sont lĂ , tout tremblants, sans rien qui les protĂšge ;De leur oeil inquiet ils regardent la neige,Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient 8La guenon, le singe et la noix oui, toujours un succĂšs! A dire avec "le ton", un vrai 10Deux autres fables de Florian Le rossignol et le princeUn jeune prince, avec son gouverneur, Se promenait dans un bocage, Et s’ennuyait, suivant l’usage C’est le profit de la grandeur. Un rossignol chantait sous le feuillage Le prince l’aperçoit, et le trouve charmant ; Et comme il Ă©tait prince, il veut dans le moment L’attraper et le mettre en cage ; Mais pour le prendre il fait du bruit, Et l’oiseau fuit. Pourquoi donc, dit alors son altesse en colĂšre, Le plus aimable des oiseaux Se tient-il dans les bois, farouche et solitaire, Tandis que mon palais est rempli de moineaux ? C’est, lui dit le Mentor, afin de vous instruire De ce qu’un jour vous devez Ă©prouver ;Les sots savent tous se produire ; Le mĂ©rite se cache, il faut l’aller grillonUn pauvre petit grillon, CachĂ© dans l’herbe fleurie, Regardait un papillon Voltigeant dans la prairie. L’insecte ailĂ© brillait des plus vives couleurs, L’azur, le pourpre et l’or Ă©clataient sur ses ailes ; Jeune, beau, petit-maĂźtre, il court de fleurs en fleurs, Prenant et quittant les plus belles. Ah ! disait le grillon, que son sort et le mien Sont diffĂ©rents ! Dame nature Pour lui fit tout, et pour moi rien. Je n’ai point de talent, encor moins de figure ; Nul ne prend garde Ă  moi, l’on m’ignore ici-bas ; Autant vaudrait n’exister pas. Comme il parlait, dans la prairie Arrive une troupe d’enfants AussitĂŽt les voilĂ  courant AprĂšs ce papillon dont ils ont tous envie. Chapeaux, mouchoirs, bonnets, servent Ă  l’attraper. L’insecte vainement cherche Ă  leur Ă©chapper. Il devient bientĂŽt leur conquĂȘte. L’un le saisit par l’aile, un autre par le corps ; Un troisiĂšme survient, et le prend par la tĂȘte. Il ne fallait pas tant d’efforts Pour dĂ©chirer la pauvre bĂȘte. Oh ! oh ! dit le grillon, je ne suis plus fĂąchĂ© ; Il en coĂ»te trop cher pour briller dans le monde. Combien je vais aimer ma retraite profonde ! Pour vivre heureux vivons Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressĂ©esPar leurs ongles crochus dans le sable s'est jugĂ© perdu, puisqu'il Ă©tait surpris,Sa retraite coupĂ©e et tous ses chemins pris ;Alors il a saisi, dans sa gueule brĂ»lante,Du chien le plus hardi la gorge pantelanteEt n'a pas desserrĂ© ses mĂąchoires de fer,MalgrĂ© nos coups de feu qui traversaient sa chairEt nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,Jusqu'au dernier moment oĂč le chien Ă©tranglĂ©,Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a Loup le quitte alors et puis il nous couteaux lui restaient au flanc jusqu'Ă  la garde,Le clouaient au gazon tout baignĂ© dans son sang ;Nos fusils l'entouraient en sinistre nous regarde encore, ensuite il se recouche,Tout en lĂ©chant le sang rĂ©pandu sur sa bouche,Et, sans daigner savoir comment il a pĂ©ri,Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un de VignyJ'y adjoins l'apologue. RĂ©flexion assurĂ©e. Nous recevons en avril Philippe Lechermeier et nous prĂ©parons Le grand livre du loup. chacun illustre l'un des textes Ă©tudiĂ©s sur le loup j'ai encore un peu de mal Ă  trouver quelque chose sur le loup garou qui ne soit pas explicitement en rapport avec une trahison conjugale, de la lĂ©gende de Rome Ă  la prĂ©sentation "scientifique" du loup et l'illustre Ă  sa maniĂšre sur Canson couleur 24 x 32. Nous rassemblerons tout cela, plastifierons, et en ferons cadeau Ă  notre visiteur en hommage Ă  ses merveilleux albums. Mais je m'Ă©gare, nous sommes sur le topic poĂ©sie...JEMSGrand MaĂźtrePrĂ©vert, En sortant de l'Ă©cole - MĂȘme si ce n'est pas classique, j'adore En sortant de l’école Nous avons rencontrĂ© Un grand chemin de fer Qui nous a emmenĂ© Tout autour de la terre Dans un wagon dorĂ© Tout autour de la terre Nous avons rencontrĂ© La mer qui se promenait Avec tous ses coquillages Ses Ăźles parfumĂ©es Et puis ses beaux naufrages Et ses saumons fumĂ©s Au-dessus de la mer Nous avons rencontrĂ© La lune et les Ă©toiles Sur un bateau Ă  voiles Partant pour le Japon Et les trois mousquetaires Des cinq doigts de la main Tournant la manivelle D’un petit sous-marin Plongeant au fond des mers Pour chercher des oursins Revenant sur la terre Nous avons rencontrĂ© Sur la voie de chemin d’fer Une maison qui fuyait Fuyait tout autour de la terre Fuyait tout autour de la mer Fuyait devant l’hiver Qui voulait l'attraper Et nous sur notre chemin d’fer On s’est mis Ă  rouler Rouler derriĂšre l’hiver Et on l’a Ă©crasĂ© Et la maison s’est arrĂȘtĂ© Et le printemps nous a saluĂ© C’était lui le garde barriĂšre Il nous a bien remerciĂ© Et toutes les fleurs De toute la terre Soudain se sont mises Ă  pousser Pousser Ă  tord et Ă  travers Sur la voie de chemin d’fer Qui ne voulait plus avancer De peur de les abĂźmer Alors on est revenu Ă  pied A pied tout autour de la terre A pied tout autour de la mer Tout autour du soleil De la lune et des Ă©toiles A pied Ă  cheval en voiture Et en bateau Ă  voilefraisedesboisNiveau 9les enfin au moins des Calligrammes d'ApollinairePaul Eluard - au moins Dans Paris ou LibertĂ©_________________lecteur Il faut beaucoup d'indisciplinĂ©s pour faire un peuple libre -Georges Bernanos, Les enfants humiliĂ©s, 1949fugueNiveau 8J'ai fait LibertĂ© au CM2, elle est tout Ă  fait toujours, au CM1Il y a des mots qui font vivre Et ce sont des mots innocents Le mot chaleur le mot confiance Amour justice et le mot libertĂ© Le mot enfant et le mot gentillesse Et certains noms de fleurs et certains noms de fruits Le mot courage et le mot dĂ©couvrir Et le mot frĂšre et le mot camarade Et certains noms de pays de villages Et certains noms de femmes et d'amis. fraisedesboisNiveau 9Guillaume Apollinaire - L'Ă©crevisseIncertitudes, ĂŽ mes dĂ©licesVous et moi nous en allonsComme s'en vont les Ă©crevisses,A reculons, Ă  reculonsBlaise Cendras - LettreTu m'as dit si tu m'Ă©crisNe tape pas tout Ă  la machineAjoute une ligne de ta mainUn mot un rien oh pas grand'choseOui oui oui oui oui oui oui ouiMa Remington est belle pourtantJe l'aime beaucoup et travaille bienMon Ă©criture est nette et claireOn voit trĂšs bien que c'est moi qui l'ai tapĂ©eIl y a des blancs que je suis seul Ă  savoir faireVois donc l'oeil qu'a ma pagePourtant pour te faire plaisir j'ajoute Ă  l'encreDeux trois motsEt une grosse tache d'encrePour que tu ne puisses pas les lireou bien "RĂ©veil", de Paul Eluard, Il faut beaucoup d'indisciplinĂ©s pour faire un peuple libre -Georges Bernanos, Les enfants humiliĂ©s, 1949doublecasquetteEnchanteur Paul VERLAINE 1844-1896 Recueil Romances sans paroles - Dans l'interminable ennui de la plaineDans l'interminableEnnui de la plaineLa neige incertaineLuit comme du ciel est de cuivreSans lueur croirait voir vivreEt mourir la les nuĂ©esFlottent gris les chĂȘnesDes forĂȘts prochainesParmi les ciel est de cuivreSans lueur croirait voir vivreEt mourir la poussiveEt vous, les loups maigres,Par ces bises aigresQuoi donc vous arrive?Dans l'interminableEnnui de la plaineLa neige incertaineLuit comme du sablephiExpertOh je l'avais fait l'an dernier aussi celui lĂ  Et moi je pense que PrĂ©vert est devenu un classique quand mĂȘme... L'an dernier j'ai fait apprendre "les animaux ont des ennuis" parfait aprĂšs la leçon sur "ail, eil, ouille,..." Les animaux ont des ennuisLe pauvre crocodile n’a pas de C cédille On a mouillé les L de la pauvre grenouilleLe poisson scie a des soucis Le poisson sole, ça le désoleMais tous les oiseaux ont des ailes Même le vieil oiseau bleuMême la grenouille verte Elle a deux L avant l’ELaissez les oiseaux à leur mère Laissez les ruisseaux dans leur litLaissez les étoiles de mer Sortir si ça leur plaît la nuitLaissez les p’tits enfants briser leur tirelireLaissez passer le café si ça lui fait plaisirLa vieille armoire normande et la vache bretonne Sont parties dans la lande en riant comme deux follesLes petits veaux abandonnés pleurent Comme des veaux abandonnésCar les petits veaux n’ont pas d’ailesComme le vieil oiseau bleuIls ne possèdent à eux deuxQue quelques pattes et deux queuesLaissez les oiseaux à leur mèreLaissez les ruisseaux dans leur litLaissez les étoiles de mer Sortir si ça leur plaît la nuitLaissez les éléphants ne pas apprendre à lire Laissez les hirondelles aller et revenirEt puis j'ai dĂ©jĂ  dit, j'avais fait aussi quelques animaux du bestiaire d'Apollinaire, avec les gravures de Dufy retraitĂ©eDoyenRimbaud 10 phi a Ă©critTestĂ©s l'an dernierAllais, complainte amoureuseOui dĂšs l'instant que je vous visBeautĂ© fĂ©roce, vous me plĂ»tesDe l'amour qu'en vos yeux je prisSur-le-champ vous vous aperçûtesAh ! Fallait-il que je vous visseFallait-il que vous me plussiezQu'ingĂ©nument je vous le disseQu'avec orgueil vous vous tussiezFallait-il que je vous aimasseQue vous me dĂ©sespĂ©rassiezEt qu'enfin je m'opiniĂątrasseEt que je vous idolĂątrassePour que vous m'assassinassiez Merci Phi ! C'est la poĂ©sie choisie par mes CM pour la rĂ©citation de la semaine prochaine !retraitĂ©eDoyen faudra juste remettre en forme les Sowandi a Ă©crit phi a Ă©critTestĂ©s l'an dernierAllais, complainte amoureuseOui dĂšs l'instant que je vous visBeautĂ© fĂ©roce, vous me plĂ»tesDe l'amour qu'en vos yeux je prisSur-le-champ vous vous aperçûtesAh ! Fallait-il que je vous visseFallait-il que vous me plussiezQu'ingĂ©nument je vous le disseQu'avec orgueil vous vous tussiezFallait-il que je vous aimasseQue vous me dĂ©sespĂ©rassiezEt qu'enfin je m'opiniĂątrasseEt que je vous idolĂątrassePour que vous m'assassinassiez Merci Phi ! C'est la poĂ©sie choisie par mes CM pour la rĂ©citation de la semaine prochaine ! Super Mais je viens de m'apercevoir que je n'ai pas citĂ© le texte entier... J'avais d'ailleurs fait apprendre uniquement la partie au passĂ© simple c'Ă©tait aprĂšs une leçon de conjugaison mĂȘme si certains avaient fait du zĂšle...Je crois que j'ai retrouvĂ© la version complĂšteComplainte amoureuseOui, dĂšs l'instant oĂč je vous vis,BeautĂ© fĂ©roce, vous me plĂ»tes ;De l'amour qu'en vos yeux je pris,Sur-le-champ, vous vous de quel air froid vous reçutesTous les soins que pour vous je pris !Combien de soupirs je rendis ?De quelle cruautĂ© vous fĂ»tes ?Et quel profond dĂ©dain vous eĂ»tesPour les voeux que je vous offris !En vain, je priai, je gĂ©mis,Dans votre duretĂ© vous sĂ»tesMĂ©priser tout ce que je fis ;MĂȘme un jour je vous Ă©crivisUn billet tendre que vous lĂ»tes,Et je ne sais comment vous pĂ»tes,De sang-froid, voir ce que je fallait-il que je vous visse,Fallait-il que vous me plussiez,Qu'ingĂ©nument je vous le disse,Qu'avec orgueil vous vous tussiez ;Fallait-il que je vous aimasse,Que vous me dĂ©sespĂ©rassiezEt qu'en vain je m'opiniĂątrasseEt que je vous idolĂątrassePour que vous m'assassinassiez !retraitĂ©eDoyenVous devez connaĂźtre celui-ci J’ai frappĂ© Ă  ta porte »_J’ai frappĂ© Ă  ta portej’ai frappĂ© Ă  ton cƓurpour avoir bon litpour avoir bon feupourquoi me repousser ?Ouvre-moi mon frĂšre ! 
_ Pourquoi me demandersi je suis d’Afriquesi je suis d’AmĂ©riquesi je suis d’Asiesi je suis d’EuropeOuvre-moi mon frĂšre_ Pourquoi me demanderla longueur de mon nez l’épaisseur de ma bouchela couleur de ma peauet le nom de mes dieuxOuvre-moi mon frĂšre ! 
_ Je ne suis pas un noir je ne suis pas un rouge je ne suis pas un jaune je ne suis pas un blancmais je ne suis qu’un homme Ouvre-moi mon frĂšre ! 
_ Ouvre-moi ta porteOuvre-moi ton cƓurcar je suis un hommel’homme de tous les tempsl’homme de tous les cieuxl’homme qui te ressemble ! 
RenĂ© PHILOMBE, Petites Gouttes de chant pour crĂ©er l’homme PubliĂ© dans Le Monde » du 08-02-1973DerniĂšre Ă©dition par retraitĂ©e le Sam 14 Avr 2012 - 958, Ă©ditĂ© 1 foisSujets similairesPoĂ©sie et musique classique 4eCameroun 46 Ă©lĂšves exclus du lycĂ©e classique et du lycĂ©e bilingue de BafoussamAider des Ă©lĂšves Ă  apprendre une poĂ©sie[1re] OE poĂ©sie quelles activitĂ©s pour les Ă©lĂšves?Mettre en valeur le travail des Ă©lĂšves poĂ©sie 5eSauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Ce matin, nous avons commencĂ© la journĂ©e en souhaitant la bien venue aux nouveaux Ă©lĂšves dont CĂ©lian qui rejoint notre classe! Nous avons ensuite explicitĂ© les rĂšgles pour bien se tenir en rang. VoilĂ  un beau rang Il fallait ensuite dĂ©coder une Ă©nigme pour trouver les 3 dĂ©fis de rentrĂ©e du jour. Nous avons commencĂ© par le premier dĂ©fi apprendre la fable "La guenon, le singe et la noix". Nous avons cherchĂ© Ă  comprendre son sens, puis nous l'avons apprise et enfin nous l'avons copiĂ©e et illustrĂ©e. Nous avons fini la matinĂ©e avec un premier rĂ©cit mythologique ƒdipe, une belle histoire pour commencer l'annĂ©e! Le midi, ceux qui sont restĂ©s ont pique niquĂ© sur la cour. En dĂ©but d'aprĂšs-midi, nous avons pris un temps pour lire. Puis NadĂšge, l'enseignante spĂ©cialisĂ©e est venue nous souhaiter une bonne rentrĂ©e! IL nous restait 40 minutes pour rĂ©aliser le deuxiĂšme dĂ©fi reproduire la nuit Ă©toilĂ©e de Van Gogh, dĂ©coupĂ©e en 15 morceaux. Ce fut un travail assez difficile finalement! Le rĂ©sultat n'est pas hyper ressemblant, mais c'est joli, non? Nous avons pu prĂ©senter notre travail aux autres classes. Le rĂ©sultat... Nous avons fini la journĂ©e en s'occupant des documents officiels et des devoirs. C'est tout pour la premiĂšre journĂ©e! Election du CME Jeudi 21 octobre a eu lieu l’élection du CME Conseil Municipal des Enfants. AprĂšs avoir rĂ©alisĂ© leur affiche “profession de foi”, chaque candidat l’a prĂ©sentĂ©e Ă  l’ensemble des Ă©lecteurs composĂ©s des CM1 et CM2. Puis, jeudi matin, munis de leur carte d’électeur, les Ă©lĂšves des 3 classes se sont rendus
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 La guenon, le singe et la noix – Jean-Pierre Claris de Florian Pour s’entraĂźner Ă  rĂ©citer la poĂ©sie Lire la suite
 Le laboureur et ses enfants, Jean de la Fontaine Pour s’entraĂźner Ă  rĂ©citer la poĂ©sie Lire la suite
 Le rat des villes et le rat des champs YĂ©tiliYĂ©tili lit Ă  LĂ©on la fable Le rat des villes et le rat des champs d’Esope. C’est l’histoire d’un rat des champs qui se rend chez son ami le rat des villes. Le rat des campagnes y dĂ©couvre de la nourriture abondante mais aussi des dangers. Ecoute cette fable sur la vie Ă  la campagne et en fable Le rat des villes et le rat des champsUn rat des champs avait pour ami un rat de maison. Le rat de maison invitĂ© par son ami s’empressa d’aller dĂźner Ă  la campagne. Mais comme il n’avait Ă  manger que de l’herbe et du blĂ©, il dit Sais-tu bien, mon ami, que tu mĂšnes une vie de fourmi ? Moi, au contraire, j’ai des biens en abondance. Viens avec moi, je les mets tous Ă  ta disposition. » Ils partirent aussitĂŽt tous les deux. Le rat de maison fit voir Ă  son camarade des lĂ©gumes et du blĂ©, et avec cela des figues, un fromage, du miel, des fruits. Et celui-ci Ă©merveillĂ© le bĂ©nissait de tout son cƓur, et maudissait sa propre fortune. Comme ils s’apprĂȘtaient Ă  commencer le festin, soudain un homme ouvrit la porte. EffrayĂ©s du bruit, nos rats se prĂ©cipitĂšrent peureusement dans les fentes. Puis comme ils revenaient pour prendre des figues sĂšches, une autre personne vint chercher quelque chose Ă  l’intĂ©rieur de la chambre. À sa vue, ils se prĂ©cipitĂšrent encore une fois dans un trou pour s’y cacher. Et alors le rat des champs, oubliant la faim, soupira et dit Ă  l’autre Adieu, mon ami, tu manges Ă  satiĂ©tĂ© et tu t’en donnes Ă  cƓur joie, mais au prix du danger et de mille craintes. Moi, pauvret, je vais vivre en grignotant de l’orge et du blĂ©, mais sans craindre ni suspecter personne. »Cette fable montre qu’il vaut mieux mener une existence simple et paisible que de nager dans les dĂ©lices en souffrant de la moraleLa fable Le rat des villes et le rat des champs d'Esope montre qu'il vaut mieux mener une existence simple et paisible que de vivre richement mais en danger. Autrement dit, manger peu mais dĂ©tendu ou manger beaucoup mais sur le qui-vive ?RĂ©alisateur Noam RoubahNom de l'auteur SĂ©verine LebrunProducteur Darjeeling/Moving PuppetDistributeur MIAM ! ANIMATIONDiffuseur France TĂ©lĂ©visionsAnnĂ©e de copyright 2016AnnĂ©e de production 2016AnnĂ©e de diffusion 2017PubliĂ© le 23/03/17ModifiĂ© le 20/05/22Ce contenu est proposĂ© par

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